Art&Fact a pour but de rendre l’ensemble de ses activités cohérentes avec un model de civilization durable et éco-responsable. Ci-bas vous trouverez de l’information sur nos efforts pour atteindre ces objectifs ainsi que la liste des intentions d’améliorations éventuels.
Programme « ambition 0 déchets »
Art&Fact, avec son partenaire d’impression Imprimeur.coop, collaborent pour réduire le gaspillage lié à l’impression de nos projets.
L’ensemble des tests et défauts d’impression sont remis à Art&Fact, nous permettant d’en faire dont à des partenaires ne pouvant se payer les produits commerciales. De plus, l’excédant d’impression (retailles de coupe, etc.) est récupéré par Art&Fact et utilisé comme matériel d’animation et de prototypage.
Cette entente d’économie circulaire permet donc la réduction des déchets et contribue à amplifier le potentiel d’impact des activités de Art&Fact.
Vous croyez que votre projet pourrait bénéficier de ces dons, contactez nous
Concernant l’emballage
Nos engagements environnementaux commencent avec nos produits d’impression et d’emballage. Pour assurer un service de qualité, nous enveloppons nos produits dans une pellicule de plastique. Tous les produits emballés par Art&Fact utilisent le film rétractable biodégradable Biolefin produit par Bollore et vendu par National Shrinkwrap.
Nous avons fait ce choix pour minimiser notre impact sur l’environnement après la lecture dans l’article de Nova Studio que ce plastique avait été testé par le CNEP (Centre National d’Evaluation de Photoprotection) qui «a découvert que «dispersé accidentellement dans l’environnement, le film [Biolefin] se photo-fragmentera sous l’effet des UV solaires, de la chaleur et de l’oxygène atmosphérique après 6 – 8 mois». le film sera suffisamment oxydé pour être fragmenté après environ 4 ans.» [Traduit librement de https://thenovastudio.com/how-biodegradable-is-biolefin/]
En effet, sur le site de National Shrinkwrap on peut lire que «Le processus de biodégradation commence environ 18 mois après l’application».
[Traduit librement de http://www.nationalshrinkwrap.com/home.html]
En plus, cet emballage est approuvé par la USFDA pour l’utilisation en alimentation, donc nous sommes doublement certain d’avoir un produit de qualité.
Voici quelques éléments de la fiche technique fournie par National Shrinkwrap
Le Biolefine est un plastique oxo-biodégradable: un plastique dégradable dans lequel la dégradation résulte de l’action de micro-organismes naturels tels que bactéries, champignons et algues. L’oxo-biodégradation est reconnue comme un processus en deux étapes. Les plastiques oxo-biodégradables ne se désintègrent pas simplement en morceaux de plastique plus petits qui polluent l’environnement. Les plastiques oxo-biodégradables utilisent une technologie basée sur une réaction bien comprise mais lente du plastique conventionnel avec l’oxygène dans l’air. L’incorporation d’additifs plastiques totalement dégradables (TDPA) accélère cette réaction de manière très contrôlée. Cela provoque la désintégration physique des produits dans une période de temps acceptable quand ils sont exposés à l’air et au soleil ou à la chaleur. Les produits de cette dégradation, qui se poursuit après les changements physiques du film, ne se limite pas aux petits morceaux de plastique d’origine, mais ils sont complètement différent chimiquement. Ils sont significativement oxydés, plus denses et hydrophiles. Ces produits de dégradation sont très sensibles à la biodégradation par des micro-organismes naturellement présent dans l’environnement et leur biodégradation a été démontrée dans des études indépendantes évaluées par les pairs. Ceci permet le retour du plastique d’origine dans l’éco-cycle. La biodégradation se produit sur une période de 1 à 3 ans, ce qui est comparable aux matériaux les plus naturels et complètement satisfaisant d’un point de vue environnemental.
I. COMPOSITION
Matière CAS %
ÉTHYLÈNE -POLYPROPYLÈNE 30 à 45
POLYÉTHYLÈNE 9002-88-4 50 à 65
ADDITIFS <5
Opportunités d’amélioration
Au delà de nos efforts cités ci-haut, nous identifions tout de même des terrains dans lesquelles nous pourrions améliorer notre éco-cohérence. Notre souhait serait de pouvoir adresser ces problématiques quand notre développement nous le permettra.
Voici donc les zones critiques identifiées :
- La livraison des produits vendus via notre magasin en ligne
- Nos interventions internationales et l’emprunte écologique de notre voyagement
- Notre dépendance sur les nouvelles technologies pour l’ensemble de nos activités d’affaires (ordinateurs, téléphones intelligents, espaces serveurs, etc.)